Lieu : Musée d'Orsay, Paris 7e
Date de début : 22 septembre 2015
Date de fin : 17 janvier 2016
Programmation : Dates et horaires : cet évènement est désormais terminé
Fermetures : Lieu fermé le lundi, le 1 mai, le 25 décembre
Site web : www.musee-orsay.fr
Présentation
Splendeurs et misères - Images de la prostitution (1850-1910) retrace la façon dont les artistes français et étrangers —fascinés par les acteurs et les lieux de ce fait social — n'ont cessé de rechercher de nouveaux moyens picturaux pour en représenter réalités et fantasmes.
L'Olympia de Manet ; L'Absinthe de Degas ; les maisons closes de Toulouse-Lautrec et Munch ; les figures audacieuses de Vlaminck, Van Dongen ou Picasso : l'exposition met en lumière la place centrale occupée par le monde de la prostitution dans le développement de la peinture moderne. Les dimensions sociales et culturelles ont également leur place au sein du parcours. Au musée d'Orsay.
L'exposition Splendeurs et misères - Images de la prostitution (1850-1910) est référencée dans notre rubrique Beaux-Arts.
Derniers avis sur l'exposition : Splendeurs et misères - Images de la prostitution (1850-1910)
Avis publié par JCV le 15 janvier 2016
le sexe fait partie de la vie et son histoire méritait d'être racontée
Avis publié par Pierre le 1er décembre 2015
Oui du q et encore du q une réalité dérangé par la vraie vie, merveilleuse présentation de l'esclavage sexuel de la femme par l'homme
Avis publié par Ghirlandaio le 30 septembre 2015
Ceux qui disent qu'il vont y aller pour Manet ou Toulouse-Lautrec vous mentirons ! C'est une expo "sexe", on y voir pour y voir du Q, du Q et encore du Q. Eh bien, il n'y a pas que ça !
Bel aspect sociologique allant de la fleur de trottoir obligée de se prostituer à la sortie de l'usine pour faire bouillir la marmite à la demi-mondaine en passant par les maisons closes aux lourdes tentures de velours rouge, on ne verra plus certains chefs-d'oeuvre d'Orsay de la même manière !
Quelques pièces notables : des cartes de visites de Madames, la fameuse chaise des voluptés qui permettait que la demoiselle puisse travailler sans problème de dos (les CHSCT des maisons closes étaient astucieux), des préservatifs d'époques, un chat à neuf queues, un lit défait. A noter des photos qui se vendaient sous le manteau, quelques portraits de garçons qui "jouent" ensemble et un film X (oui, Orsay à osé) dans des pièces interdites aux moins de 18 ans, enfin, c'est ce qu'on m'a dit ;-)
(juste une petite étoile en moins pour le principe d'avoir (encore) fait une expo de Q un peu racoleuse même si elle est réussie)
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Coordonnées du lieu
Musée d'Orsay
Adresse : 1 rue de la Légion d'Honneur 75007 Paris 7eTransports
RER : Musée d'Orsay (C)
Bus : Assemblée Nationale (63 / 73 / 83 / 84 / 87 / 94 / N01 / N02), Musée d'Orsay (68 / 69 / 73), Pont de Solférino - Quai des Tuileries (72 / N11 / N24), Lille - Université (63 / 73 / 83 / 84 / 87 / 94), Solferino - Bellechasse (63 / 68 / 69 / 83 / 84 / 87 / 94 / N02), Henry de Montherlant (68 / 69 / 87 / N01), Pont Royal - Quai Voltaire (68 / 69)
Plan d'accès
1 rue de la Légion d'Honneur
3 avis sur Splendeurs et misères - Images de la prostitution (1850-1910)
Avis publié par JCV le 15 janvier 2016
le sexe fait partie de la vie et son histoire méritait d'être racontée
Avis publié par Pierre le 1er décembre 2015
Oui du q et encore du q une réalité dérangé par la vraie vie, merveilleuse présentation de l'esclavage sexuel de la femme par l'homme
Avis publié par Ghirlandaio le 30 septembre 2015
Ceux qui disent qu'il vont y aller pour Manet ou Toulouse-Lautrec vous mentirons ! C'est une expo "sexe", on y voir pour y voir du Q, du Q et encore du Q. Eh bien, il n'y a pas que ça !
Bel aspect sociologique allant de la fleur de trottoir obligée de se prostituer à la sortie de l'usine pour faire bouillir la marmite à la demi-mondaine en passant par les maisons closes aux lourdes tentures de velours rouge, on ne verra plus certains chefs-d'oeuvre d'Orsay de la même manière !
Quelques pièces notables : des cartes de visites de Madames, la fameuse chaise des voluptés qui permettait que la demoiselle puisse travailler sans problème de dos (les CHSCT des maisons closes étaient astucieux), des préservatifs d'époques, un chat à neuf queues, un lit défait. A noter des photos qui se vendaient sous le manteau, quelques portraits de garçons qui "jouent" ensemble et un film X (oui, Orsay à osé) dans des pièces interdites aux moins de 18 ans, enfin, c'est ce qu'on m'a dit ;-)
(juste une petite étoile en moins pour le principe d'avoir (encore) fait une expo de Q un peu racoleuse même si elle est réussie)
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