Lieu : CPIF - Centre photographique d'Île-de-France, Pontault-Combault
Date de début : 15 novembre 2015
Date de fin : 21 février 2016
Programmation : Dates et horaires : cet évènement est désormais terminé
Site web : www.cpif.net
Présentation
À fendre le cœur le plus dur est une proposition qui articule des œuvres d’art contemporain à des documents datés de 1911. Tout commence par la découverte fortuite d’images bouleversantes de ce qui s’avèrera être une opération de répression menée par une puissance coloniale... Comment appréhender de manière juste un témoignage si ambigu, et qu’en transmettre ?
L'exposition À fendre le cœur le plus dur est référencée dans notre rubrique Photographie.
Derniers avis sur l'exposition : À fendre le cœur le plus dur
Avis publié par Marie le 5 mai 2016
Une exposition intéressante et originale pour regarder une archive autrement...
Avis publié par Gabriel le 20 novembre 2015
Une archive photographique forte et rare (un reportage photographique de guerre ancien et inédit) mise en résonance avec des œuvres elles aussi fortes créées spécialement dans le cadre de ce projet pluridisciplinaire (Agnès Geoffray pour les arts plastiques; Jérôme Ferrari et Oliver Rohe pour la littérature et Emmanuel Eggermont pour la danse) et des œuvres plus anciennes de plasticiens travaillant le médium photographique et les questions de la guerre et de la violence et de la possibilité d'une représentation.
Une approche histoire et arts originale et pertinente.
Coordonnées du lieu
CPIF - Centre photographique d'Île-de-France
Adresse : 107 av. de la République 77340 Pontault-CombaultTransports
Plan d'accès
107 av. de la République
2 avis sur À fendre le cœur le plus dur
Avis publié par Marie le 5 mai 2016
Une exposition intéressante et originale pour regarder une archive autrement...
Avis publié par Gabriel le 20 novembre 2015
Une archive photographique forte et rare (un reportage photographique de guerre ancien et inédit) mise en résonance avec des œuvres elles aussi fortes créées spécialement dans le cadre de ce projet pluridisciplinaire (Agnès Geoffray pour les arts plastiques; Jérôme Ferrari et Oliver Rohe pour la littérature et Emmanuel Eggermont pour la danse) et des œuvres plus anciennes de plasticiens travaillant le médium photographique et les questions de la guerre et de la violence et de la possibilité d'une représentation.
Une approche histoire et arts originale et pertinente.
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