Tina Modotti, L'œil de la révolution

Très belle expo qui donne à découvrir une femme photographe dont on connaît peu l'oeuvre à part quelques clichés reproduits. Elle est enrichissante. Elle offre un témoignage exceptionnel sur le peuple mexicain des années 20. C'est en cela que c'est un regard révolutionnaire. Mais c'est aussi très dépaysant et émouvant.

Oui certaines photos ne sont pas parfaites sur le plan technique au niveau du piqué, de l'exposition mais l'essentiel est ailleurs.

Des photos qui ne sont pas très impressionnantes, des tirages petits, il faut faire la queue, il y a trop de monde.

Exposition bondée, tirages minuscule. Encore une fois reçu.

Alors évidemment ce n’est pas du Willy Ronis mais moi qui ne connaissais pas la photographe, j’ai trouvé ça très intéressant de découvrir son parcours, de voir un témoignage du Mexique de cette époque, loin de la banale photo de touristes, sauf si bien sûr photographier la misère ou la vie d’un peuple c’est du tourisme de carte postale. J’ai aussi aimé le travail de photographie sur l’architecture, la force des contrastes. Et beaucoup moins été intéressé par les dernières photos d’Allemagne où apparemment la photo n’avait pas ou plus d’intérêt pour elle. Il est certain vu la qualité de certains clichés, il aurait été absurde de faire des agrandissements et le format des photographies exposées n’est pour moi pas un problème, il me semble que le Jeu de Paume avait consacré une exposition avec énormément de planches contactes qui était aussi un très beau témoignage pour une très bonne exposition, tout comme celle-ci peut l’être. Une belle découverte.

100% d'accord avec l'avis de Marie-Helene (mars). Une expo pas à la hauteur du Jeu de Paume. D'abord 45 min d'attente pour entrer dans le bâtiment avec un e-billet avec le bon horaire (une seule file, et un seul contrôle vigile, donc ça coince). Expo : Tina avouait elle-même qu'elle ne s'intéressait pas à la photographie en temps qu'art graphique, nous en restons donc à des photos banales de tourisme en NB, avec une dizaine de clichés (flous) de Mexicaines avec poterie sur la tête (bonne expo pour amateurs de poteries trad), des marchés... La "femme au drapeau" de l'affiche ne résume pas l'expo car c'est sa plus construite. Le côté politique se résume lui à une faucille et 3 photos de meetings ("l'oeil de la révolution" : publicité mensongère, la révolution est totalement absente, l'œil aussi d'ailleurs). De plus, la moitié des tirages sont de format planche-contact (7 cm ?), donc minuscules et illisibles. Très ennuyeux, très ennuyant.

Avec une réservation sur internet pour 16h le dimanche 17 mars, nous avons fait la queue 45 minutes (devant le musée, puis dans l'escalier) avant de pouvoir accéder à l'exposition Tina Modotti. A quand de vrais créneaux horaires comme dans les autres expositions ?
Exposition très décevante malgré qq beaux portraits et qq allégories intéressantes : beaucoup de tirages d'époque, peu contrastés, photos de la taille d'une carte à jouer qui n'ont rien à voir avec les tirages modernes dans la presse, agrandis et contrastés eux : il y a ici qqchose de l'ordre de la publicité mensongère.

Très belle exposition, bien organisée. Néanmoins beaucoup trop de petits clichés difficiles à apprécier qui méritaient une mise en scène plus confortable à la vue. Une très belle découverte de cette photographe.

¿Cómo fue ?….

Te fuiste de Udine por Austria,
luego a casa de nuevo a coser hilos por las olas
y navegar un día, hacia el mono azul manchado…
Te fuiste hacia lo hermoso
sabiendo cuánto cuesta mendrugo y vino…
Te fuiste hacia luces que te veían brillar más alto
y fuiste la inspiración del suspiro…
Te fuiste con mirada de lujo en un tranvía rojo
y bajaste a ver al Sur a los que pintaban cacto en el muro.
Te fuiste y creciste con arte y valor
al lado de la lucha de blanco y negro…
Te fuiste por amor pero te dejaron de luto.
Cuando el angel cayó te fuiste a por la bestia de nuevo,
nueva…
Te fuiste tantas veces que olvido y sólo pienso
que tu mano no apretó en vano sino por ser caricia de viento.
En esto que ahora queda por sacar, por tocar y por cambiar…
No te fuiste mucho más porque el taxi te desanimó.
No te fuiste sin embargo, no, porque te veo…

¿Cómo fue ?
Te fuiste hacia lo hermoso
sabiendo cuánto cuesta un mendrugo y el vino…
Te fuiste hacia luces que te veían brillar más alto
y fuiste la inspiración del suspiro…

Para tal Tina, tal Julio, tales destinos… LsBgN