Réalisation :
Jean-Daniel Pollet
Principaux artistes :
Michael Lonsdale, Valentine Vidal, Alain Beigel
Genre : Comédie dramatique
Nationalité : France
Durée : 1h25
Année de réalisation : 2000
Date de sortie : 9 septembre 2020
Date de première mise en salle : 26/09/2001
Distributeur : P.o.m Films
Présentation
Une jeune femme, chargée par son ami parti au loin d'organiser une exposition de photos représentant les diverses formes du Mal, s'installe chez un vieux musicien en mal d'inspiration dans une bastide du Sud de la France.
Casting
Réalisation : Jean-Daniel Pollet
Distribution : Michael Lonsdale (Mikaël), Valentine Vidal (Linda), Alain Beigel (Sébastien)
Casting technique : Jean-Daniel Pollet (Scénario), Antoine Duhamel (Musique), Acácio de Almeida (Direction artistique), Laurent Roth (Scénario)
Derniers avis
Avis publié par Clara le 2 octobre 2020
Pourquoi refuser l'invitation ? Une vieille bastide dans le midi, sans téléphone, ni voiture, ni télévision. Le son d'un piano, de l'eau, de la campagne environnante. On y retrouve une jeune femme et un homme spirituel, du bon whisky, du thé, des fruits. Dans ce calme la fureur du monde entre par les absents et des images photographiques de la destructivité et de la beauté humaines.
Le texte, très présent, est en partie un dialogue intérieur qui cite Rimbaud, Huguenin. La bande son est une oeuvre d'Antoine Duhamel. La caméra de Pollet, curieuse de la vie, est si respectueuse que sa présence ne gêne pas l'intimité de la conscience.
C'est raffiné, contemplatif et juste. Mikael Lonsdale est merveilleux de finesse et d'esprit. C'est vraiment dommage de n'avoir été que quatre dans la salle.
1 avis sur Ceux d'en face
Avis publié par Clara le 2 octobre 2020
Pourquoi refuser l'invitation ? Une vieille bastide dans le midi, sans téléphone, ni voiture, ni télévision. Le son d'un piano, de l'eau, de la campagne environnante. On y retrouve une jeune femme et un homme spirituel, du bon whisky, du thé, des fruits. Dans ce calme la fureur du monde entre par les absents et des images photographiques de la destructivité et de la beauté humaines.
Le texte, très présent, est en partie un dialogue intérieur qui cite Rimbaud, Huguenin. La bande son est une oeuvre d'Antoine Duhamel. La caméra de Pollet, curieuse de la vie, est si respectueuse que sa présence ne gêne pas l'intimité de la conscience.
C'est raffiné, contemplatif et juste. Mikael Lonsdale est merveilleux de finesse et d'esprit. C'est vraiment dommage de n'avoir été que quatre dans la salle.
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