Marisa la civetta

De Mauro Bolognini
Cinémas Comédie 1h20

Réalisation : Mauro Bolognini
Principaux artistes : Marisa Allasio, Renato Salvatori, Francisco Rabal, Angel Aranda
Genre : Comédie
Nationalité : Italie, Espagne
Durée : 1h20
Date de sortie (ou ressortie) : 1er janvier 1957

Présentation

Jeune orpheline aussi belle que provocante, Marisa est vendeuse de glaces dans le modeste café d'une gare. Avec son sourire indocile, elle fait chavirer le coeur de tous les garçons. Les plus entreprenants, Luigi et Luccicotto, voudraient bien qu'elle cesse de leur résister. Mais peu lui importe. Un beau jour, lorsqu'elle croise le regard d'un marin nommé Angelo, Marisa ressent quelque chose de profondément différent pour cet homme. C'est le grand amour. Mais Angelo doit bientôt repartir en mer. Mesquin et jaloux, le patron de Marisa la menace alors de la licencier pour conduite immorale. La jeune femme n'a d'autre choix que de tenter de séduire ce vil personnage.

Marisa la civetta : la distribution

Réalisation : Mauro Bolognini

Casting : Marisa Allasio (Marisa), Renato Salvatori (Angelo), Francisco Rabal (Antonio), Angel Aranda (Lucicotto), Maria Cuadra (Luisa), Giancarlo Zarfati (Fumetto), Ettore Manni (Luigi), Ennio Girolami (le soldat)

Distribution technique : Mauro Bolognini (scénario), Carlo Rustichelli (musique), Flavio Mogherini (décors), Carlo Carlini (direction artistique), Pier Paolo Pasolini (scénario), Tatina Demby (scénario)

Avant Marisa la civetta, Mauro Bolognini a réalisé Guardia, guardia scelta, brigadiere e maresciallo en 1956, Les Amoureux en 1955, La Veine d'or en 1955 et D'Artagnan, chevalier de la reine en 1954.

La musique a été composée par Carlo Rustichelli, qui avait composé auparavant la bande son des films Pères et fils en 1957, Le Disque rouge en 1956, Guardia, guardia scelta, brigadiere e maresciallo en 1956 et Les Amoureux en 1955.

Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Marisa Allasio dans Les Sept collines de Rome (1957) et Belles mais pauvres (1957) ; Renato Salvatori dans Belles mais pauvres (1957) et L'Impossible Isabelle (1957) et Francisco Rabal dans La Muraille de feu (1957) et Un dénommé Squarcio (1957).

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