Dirty Diaries

Skin (Elin Magnusson) : Un homme et une femme, recouverts de la tête aux pieds d’une étrange combinaison, se redécouvrent après des années de déceptions et de solitude. Fruitcake (Sara Kaaman et Ester Martin Bergsmark) : Comment écrit-on dissolution, révolution, utopie ? On l’écrit A-N-U-S. Night Time (Nelli Roselli) : « Ce qui fait du bien, n’a rien à voir avec la beauté extérieure ». Dildoman (Asa Sandzen) : Au Dildoman gentlemen’s club, les strip-teaseuses, copropriétaires du lieu, fixent leurs propres limites. Body Contact (Pella Kâgerman) : C’est incroyable, les contacts que l’on peut trouver sur internet. Red Like Cherry (Tora Martens) : « Ce qu’on ne voit pas est parfois bien plus excitant que ce qu’on peut voir ». On Your Back Woman ! (Wolfe Madam) : « C’est une violente mais parfois tendre histoire de femmes ». Phone Fuck (Ingrid Ryberg) : Deux femmes qui se sont aimées, se retrouvent dans le cadre d’une conversation téléphonique très intime. Brown Cock (Universal Pussy) : Passion et politique s’unissent dans la force de la vie, de la communauté et de la révolution ! Flasher Girl on Tour (Joanna Rytel) : Les femmes exhibitionnistes sont peu courantes. Authority (Marit Osterb) : Une femme flic poursuit une femme hors la loi. For the Liberation of Men ( Jennifer Rainsfor) : Les fantasmes dévoilés d'une femme d'un certain âge.

Produits par Mia Engberg (Come Together), ces 12 courts métrages dérogent à la “règle” implicite des films pornographiques classiques : une réalisation par et pour des hommes, et interprétée par des femmes choisies pour leur plaire. Ici, l’esthétique, ou la technique, ne sont pas les seuls éléments d'une pornographie purement féminine : il y a aussi le fantasme, l’explicite, l’intime, l’art...