Enzo

Le film type de l'univers mièvre des gays français. Un scénario déjà bien usé, une mise en scène quasi inexistante (lumière peu contrôlée, panoramique incessants mais nuls, figurant et acteurs qui semblent s'ennuyer fortement, personnages caricaturaux ...). Je donne quand même deux étoiles pour les belles images du littoral méditerranéen, de La Ciotat et ses calanques et quand même, malgré son jeu simpliste (n'est pas Brando qui veut) , pour la prestation de Eloy Pohu, émouvant de fraicheur.

Enzo 16 ans choisit le métier de maçon tranchant avec ses parents professeur d'université et ingénieure voulant montrer son refus du monde confortable des gens aisés dans une villa sur les hauteurs de La Ciotat. Sur le chantier il fera connaissance de deux ukrainiens dont il se liera d'amitié. Beau film sur les rapports humains familiaux et professionnels avec une touche politique du fait des deux maçons ukrainiens. Eloy Pohu qui joue Enzo est très bon dans ce rôle de garçon partagé. A voir. Robin Campillo a terminé ce film suite au décès de Laurent Cantet, ils ont travaillé ensemble sur 5 films.

Trop de longueur. Ennuyeux.

Enzo est un très très beau film, plein d'émotion et d'intelligence. Les acteurs sont tous formidables, Eloy Pohu interprète le rôle, difficile je trouve, d'Enzo, adolescent très mature qui "se cherche", qui devient un jeune adulte, avec des idéaux, grâce à une très belle rencontre... Élodie Bouchez est vraiment une grande actrice. C'est un film joué et réalisé avec beaucoup de délicatesse.

Une fin très belle après deux heures d'ennui.

Très beau film, subtil et maîtrisé, sur l'adolescence et la quête de soi pour grandir dans un monde contrariant à cet âge de la vie.
La photographie est magnifique et la direction d'acteurs convaincante. Pas une minute d'ennui. Au contraire. Le spectateur est suspendu à la décision que prendra tôt ou tard Vlad, le jeune Ukrainien venu travailler en France, alors que son pays est déchiré par la guerre. A ne pas manquer.

Il y a d’abord le jeu subtil et incarné du jeune Eloy Pohu, magnifique d’intériorité, dont le visage est le miroir des tourments de l’âme qui à l’adolescence recherche avec tant de peine à se construire. Mais l’ensemble du film est magnifiquement filmé et les acteurs sont formidables, que ce soit Favino dans le rôle du père ou Elodie Bouchez dans celui de la mère. Le personnage de Vlad est aussi superbement campé afin de conférer toute son émotion et son humanité à ce jeune ukrainien en proie au dilemme entre servir son pays et vivre sa vie. C’est si difficile à 16 ans comme à 25 ans de savoir comment vivre sa vie. Il y a ce plan si beau et subtil où le jeune Enzo nage dans l’eau turquoise d’une calanque pour se trouver face à la falaise tombant à pic, tout petit face à la paroi monumentale, allégorie de la vie, et du chemin à gravir, cela sous l’œil bienveillant et préoccupé du père. Un film bouleversant !

Enzo ou les difficultés de trouver sa voie et son identité notamment sexuelle à l'adolescence...
Enzo, mouton noir d'une famille bourgeoise aisée décide pour s'affirmer de prendre une voie atypique, de travailler sur un chantier au contact de migrants dont de nombreux ukrainiens… Il se heurte alors à la double incompréhension de ses parents et de ses collègues... Malgré tout cette errance, ce choix l'aide à grandir et à rentrer dans le rang...

Un ado de 16 ans d'un milieu aisé et choyé par ses parents tombe amoureux d'un ouvrier ukrainien blessé par la vie qui est victime de violences familiales. Un crush impossible et à sens unique. Très long et ennuyeux. 2h perdues.