Réalisation :
Kristina Grozeva, Petar Valchanov
Principaux artistes :
Margita Gosheva, Ivan Barnev, Ivan Savov, Stefan Denolyubov
Genre : Drame
Titre original : Urok
Nationalité : Bulgarie
Durée : 1h45
Date de sortie (ou ressortie) : 9 septembre 2015
Présentation
Professeure d'anglais dans un collège, Nadia fait la morale à ses élèves, après un vol perpétré dans sa classe. Un jour, un huissier lui annonce que sa maison va être mise aux enchères car son mari n'a pas payé les traites. En effet, il a utilisé l'argent pour payer une courroie de transmission pour le camping-car qu'il essaie de vendre. Décidée à ne pas perdre sa maison, Nadia va tout tenter pour trouver l'argent nécessaire. Elle réclame la somme que lui doit depuis des semaines une société pour ses traductions. Flouée, elle doit emprunter auprès d'un usurier. Et c'est le cercle infernal, d'autant qu'elle n'est pas aidée par les hommes qui l'entourent.
The Lesson : la distribution
Réalisation : Kristina Grozeva, Petar Valchanov
Casting : Margita Gosheva (Nadia), Ivan Barnev (le mari de Nadia), Ivan Savov (le père de Nadia), Stefan Denolyubov (le mafieux), Ivanka Bratoeva (la belle-mère de Nadia), Poli Angelova (la secrétaire), Nikolay Todorov (Kutsev), Atanas Bratoev (un policier)
Distribution technique : Petar Valchanov (scénario), Kristina Grozeva (scénario)
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Ivan Barnev dans Moi qui ai servi le roi d'Angleterre (2006).
Derniers avis sur le film : The Lesson
Avis publié par RICHARD DIVER le 16 octobre 2015
Tous les éléments et toute l'ambiance de l'Europe de l'Est post-soviétique: à partir d'un thème énoncé au départ et qui parcourt tout le film, le réalisateur nous présente un compte moral enraciné dans la réalité à la fois miteuse et impitoyable de la Bulgarie contemporaine. Un film profondément déprimant et pourtant exhalant en même temps. Une petite merveille!
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
1 avis sur The Lesson
Avis publié par RICHARD DIVER le 16 octobre 2015
Tous les éléments et toute l'ambiance de l'Europe de l'Est post-soviétique: à partir d'un thème énoncé au départ et qui parcourt tout le film, le réalisateur nous présente un compte moral enraciné dans la réalité à la fois miteuse et impitoyable de la Bulgarie contemporaine. Un film profondément déprimant et pourtant exhalant en même temps. Une petite merveille!
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