Théâtre d'objets : tous les spectacles à Paris :
3 spectacles
Cette proposition atypique et céleste est pensée comme une accumulation de dispositifs antigravitaires, autour desquels sont imaginées de petites formes d’une dizaine de minutes.
Dans ce spectacle à la beauté plastique stupéfiante, Yngvild Aspeli se saisit de l’œuvre la plus illustre d’Henrik Ibsen.
Dans une vision dystopique grand format, Alice Laloy échafaude un système sous contrôle : des humains en transforment d’autres en avatars.
Précédemment à l'affiche
Spectacle d’horreur absurde, Trust me for a while met en scène un magicien médiocre et une marionnette ventriloque possédée et jalouse, armée d’un couteau.
Les trois fondateurs ont conquis le monde sans paroles, sans musique, sans scénographie : seuls des effets visuels réalisés au moyen de masques et de mouvements du corps.
Dans cette étonnante performance mêlant technologie de papier et ombres électroniques, l'artiste tente de programmer sous nos yeux complices, une émotion artificielle.
Avec son théâtre d’objets unique en son genre et sa capacité à raconter de petites histoires pour éclairer la grande, la compagnie Les Maladroits ravive la mémoire passionnelle des premiers pas sur la Lune.
Dans une vision dystopique grand format, Alice Laloy échafaude un système sous contrôle : des humains en transforment d’autres en avatars.
Deux femmes, l’une professeure d’histoire à la retraite, l’autre infirmière de nuit, mènent une enquête sur un massacre de tirailleurs sénégalais par les nazis en 1940.
Approchez, approchez, Polichinelle vous attend ! Né dans les rues de Naples, ce personnage issu de la Commedia Dell’Arte a traversé les siècles et les pays d’Europe jusqu’au Brésil.
Leticia, 15 ans, née Larry King, a une personnalité fantasque. Elle adore les vêtements glamour, chanter à tue-tête et en pince pour l’un de ses camarades de lycée.
Dans ce seule en scène, le personnage de Rebecca vient partager les histoires que la houle du temps a déposées en elle comme les vagues laissent les algues sur le sable.
Dans ce spectacle à la beauté plastique stupéfiante, Yngvild Aspeli se saisit de l’œuvre la plus illustre d’Henrik Ibsen.
Dans ce spectacle à la beauté plastique stupéfiante, Yngvild Aspeli se saisit de l’œuvre la plus illustre d’Henrik Ibsen.
Dans une vision dystopique grand format, Alice Laloy échafaude un système sous contrôle : des humains en transforment d’autres en avatars.
Devant nous se tient un circuit de train géant, avec ses passages à niveau, ses aiguillages, ses tunnels et ses ponts.
La vie de trappeur dans le Grand Nord n’est pas toujours gaie, entre la rudesse du climat, les expéditions pour chasser et le risque de sombrer dans la folie en raison de l’interminable nuit polaire.
Dans ce spectacle à la beauté plastique stupéfiante, Yngvild Aspeli se saisit de l’œuvre la plus illustre d’Henrik Ibsen.