Entre le ciel et l'enfer

De Akira Kurosawa (1963)
Cinémas Comédie dramatique 2h23 Réédition

Réalisation : Akira Kurosawa
Principaux artistes : Toshiro Mifune, Tatsuya Nakadai, Kyôko Kagawa, Tatsuya Mihashi
Genre : Comédie dramatique
Titre original : Tengoku to jigoku
Nationalité : Japon
Langue de tournage : Japonais
Durée : 2h23
Année de production : 1963
Date de sortie (ou ressortie) : 3 septembre 2025
Date de première mise en salle : 9 juin 1976
Distributeur : Carlotta

Présentation

Industriel au sein d’une grande fabrique de chaussures, Kingo Gondo décide de rassembler tous ses biens afin de racheter les actions nécessaires pour devenir majoritaire. C’est à ce moment-là qu’il apprend que son fils Jun a été enlevé et qu’une rançon est exigée. Se produit alors un véritable coup de théâtre : ce n’est pas Jun mais Shin’ichi, le fils de son chauffeur, qui a été enlevé. Gondo est désormais face à un dilemme : doit-il dépenser toute sa fortune pour sauver l’enfant d’un autre ?

Akira Kurosawa présente ici une adaptation du roman d’Ed McBain, Rançon sur un thème majeurEntre le ciel et l’enfer est scindé en deux parties : d’abord le huis-clos dans la maison du riche industriel, puis la traque du kidnappeur dans les bas-fonds de la ville. Le long-métrage entre alors pleinement dans l’univers du film noir, usant des thèmes classiques du genre : la grande ville et ses quartiers malfamés, la drogue, la traque entre la police et le criminel. 

Entre le ciel et l'enfer : la distribution

Réalisation : Akira Kurosawa

Casting : Toshiro Mifune (Kingo Gondo), Tatsuya Nakadai (l'inspecteur Tokura), Kyôko Kagawa (Reiko Gondo), Tatsuya Mihashi (Kawanishi, le secrétaire de Gondo), Ko Kimura (l'inspecteur Arai), Kenjiro Ishiyama (l'inspecteur Taguchi), Takeshi Kato (le détective Nakao), Takashi Shimura (le chef de la section de recherche), Jun Tazaki (Kamiya), Nobuo Nakamura (Ishimaru), Yunosuke Ito (Baba), Tsutomu Yamazaki (Ginjirô Takeuchi, le ravisseur)

Distribution technique : Akira Kurosawa (scénario), Masaru Satô (musique), Asakazu Nakai (direction artistique), Eijirô Hisaita (scénario), Takao Saito (direction artistique), Ryuzo Kikushima (scénario), Hideo Oguni (scénario)

Avant Entre le ciel et l'enfer, Akira Kurosawa a réalisé Sanjuro en 1962, Yôjinbô en 1961, Les salauds dorment en paix en 1960 et La Forteresse cachée en 1958.

Le scénario du film a été écrit par Akira Kurosawa, Eijirô Hisaita, Ryuzo Kikushima et Hideo Oguni, qui avaient déjà écrit ensemble Les salauds dorment en paix en 1960.

La musique a été composée par Masaru Satô, qui avait composé auparavant la bande son des films L'Héritage des 500 000 en 1963, Yôjinbô en 1961, Les salauds dorment en paix en 1960 et L'Homme H en 1958.

Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Toshiro Mifune dans L'Héritage des 500 000 (1963) et Sanjuro (1962) ; Tatsuya Nakadai dans L'Héritage des 500 000 (1963) et Hara-kiri-1962 (1962) et Kyôko Kagawa dans La Nuit des femmes (1961) et Les salauds dorment en paix (1960).

Entre le ciel et l'enfer : à propos

Akira Kurosawa se tourne à nouveau vers le film noir avec cette adaptation du roman d’Ed McBain, Rançon sur un thème majeurEntre le ciel et l’enfer est scindé en deux parties : d’abord le huis-clos dans la maison du riche industriel, puis la traque du kidnappeur dans les bas-fonds de la ville. Le long-métrage entre alors pleinement dans l’univers du film noir, usant des thèmes classiques du genre : la grande ville et ses quartiers malfamés, la drogue, la traque entre la police et le criminel. 

Derniers avis sur le film : Entre le ciel et l'enfer

Avis publié par jean-luc le 24 août 2024

Une merveille de film qui nous transporte du monde brutal des affaires aux quartiers les plus mal famés de la ville. Une interprétation magistrale, véritable Comédie Humaine du Japon de l'après guerre. Un must see !

1 avis sur Entre le ciel et l'enfer

Avis publié par jean-luc le 24 août 2024

Une merveille de film qui nous transporte du monde brutal des affaires aux quartiers les plus mal famés de la ville. Une interprétation magistrale, véritable Comédie Humaine du Japon de l'après guerre. Un must see !

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