Réalisation :
Kirill Serebrennikov
Principaux artistes :
August Diehl, Max Bretschneider, David Ruland, Friederike Becht
Genre : Drame
Titre original : The Disappearance of Josef Mengele
Nationalité : France, Mexique, Allemagne
Langue de tournage : Allemand
Durée : 2h16
Année de production : 2025
Date de sortie (ou ressortie) : 22 octobre 2025
Distributeur : Bac Films
Présentation
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Josef Mengele, le médecin nazi du camp d’Auschwitz, parvient à s’enfuir en Amérique du Sud pour refaire sa vie dans la clandestinité. De Buenos Aires au Paraguay, en passant par le Brésil, celui qu’on a baptisé « L’Ange de la Mort » va organiser sa méthodique disparition pour échapper à toute forme de procès.
Kirill Serebrennikov signe ici l'adaptation du livre éponyme d'Oliver Guez, lauréat du Prix Renaudot Grasset en 2017. Il détaille : « Tout de suite, il y a quelque chose qui m’a intéressé dans l’idée de l’adapter, même si bien sûr la tâche était ardue… Que deviennent les criminels de guerre une fois que la guerre est terminée ? Est-ce qu’il y a une justice divine ? Ces gens sont-ils rattrapés par leur passé ? La question du karma, du châtiment, de la justice… tout ceci m’a toujours intéressé. De plus, ce livre d’Olivier Guez donne de la documentation et provoque l’imagination. »
La Disparition de Josef Mengele : la distribution
Réalisation : Kirill Serebrennikov
Casting : August Diehl (Josef Mengele), Max Bretschneider (Rolf Mengele), David Ruland (Sedlemeier), Friederike Becht (Martha Mengele), Mirco Kreibich (Alois Mengele), Dana Herfurth (Irene Mengele), Károly Hajduk (Nyzli), Falk Rockstroh (Butler Falk), Annamaria Lang (Gitta Stammer), Thilo Werner (Geza Stammer), Burghart Klaussner (Karl Mengele), Carlos Kaspar (Aelxander Eckstein), Heinz Krattiger (Jung), Alina Lytvynova (Deported Jewish Girl), Anton Lytvynov (Deported Jewish Man), Diana Stepanova (Prisoner), Tetiana Lytvynova (Deported Jewish Woman), Rodrigo Pereyra (Roberto Stammer)
Distribution technique : Kirill Serebrennikov (scénario), Vladislav Opelyants (direction artistique)
Kirill Serebrennikov a écrit et réalisé La Disparition de Josef Mengele. Précédemment, Kirill Serebrennikov a aussi réalisé La Femme de Tchaïkovski en 2022, Limonov. La Ballade en 2022, La Fièvre de Petrov en 2021 et Leto en 2018.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma August Diehl dans La Tour de glace (2025) et L'Espion de Dieu (2024).
Derniers avis sur le film : La Disparition de Josef Mengele
Avis publié par Isabelle le 6 novembre 2025
Le biopic du médecin nazi Joseph Mengele dénommé ange de la mort. Un drame en noir et blanc qui témoigne de l'impunité que s'accorde le protagoniste qui se considère comme "victime" des circonstances.
Avis publié par Gérard le 5 novembre 2025
Excellent film qui reprend le livre (tout aussi excellent) de Olivier Guez. Un voyage utile dans la tête d’un bourreau. Une épopée morbide dans le cerveau d’un homme qui hait viscéralement les juifs, qui a tué, torturé avec application et jouissance. Un film marquant, époustouflant qui ne se termine pas à la fin de la séance de cinéma. Un film qui m’accompagne et ne me quitte pas.
Avis publié par Annie Gerstner le 27 octobre 2025
Un film sombre qui montre bien la profonde inhumanité d’un monstre à visage humain, l’environnement en Amérique latine pas plus rassurant que la pègre nazie qui le vénère et le soutient grâce à des fonds de secours mutuel de la facho sphère toujours active. Un film qui terrifie par l’absence de justice finale. Sa mort ne nous délivre pas, ne nous donne aucun espoir, mais c’est un avertissement. Un film utile pour comprendre que cela existe et y faire barrage. Un film important qui a une valeur historique et pédagogique.
Avis publié par Vincent le 26 octobre 2025
Aucune réflexion, ce n'est qu'un long film décousu entre fascination du réalisateur et malaise du spectateur.
Avis publié par Salles-cinema.com le 25 octobre 2025
L'effroyable Joseph Mengele, "l'ange noir d'Auschwitz", entre paranoïa et dépression, dans ce film du grand cinéaste russe de "La Femme de Tchaïkovski". Superbement réalisé, un film noir au plus profond de l'âme d'un nazi traqué avec l'excellent August Diehl qui joue Mengele à tous les âges de la vie.
6 avis sur La Disparition de Josef Mengele
Avis publié par Isabelle le 6 novembre 2025
Le biopic du médecin nazi Joseph Mengele dénommé ange de la mort. Un drame en noir et blanc qui témoigne de l'impunité que s'accorde le protagoniste qui se considère comme "victime" des circonstances.
Avis publié par Gérard le 5 novembre 2025
Excellent film qui reprend le livre (tout aussi excellent) de Olivier Guez. Un voyage utile dans la tête d’un bourreau. Une épopée morbide dans le cerveau d’un homme qui hait viscéralement les juifs, qui a tué, torturé avec application et jouissance. Un film marquant, époustouflant qui ne se termine pas à la fin de la séance de cinéma. Un film qui m’accompagne et ne me quitte pas.
Avis publié par Annie Gerstner le 27 octobre 2025
Un film sombre qui montre bien la profonde inhumanité d’un monstre à visage humain, l’environnement en Amérique latine pas plus rassurant que la pègre nazie qui le vénère et le soutient grâce à des fonds de secours mutuel de la facho sphère toujours active. Un film qui terrifie par l’absence de justice finale. Sa mort ne nous délivre pas, ne nous donne aucun espoir, mais c’est un avertissement. Un film utile pour comprendre que cela existe et y faire barrage. Un film important qui a une valeur historique et pédagogique.
Avis publié par Vincent le 26 octobre 2025
Aucune réflexion, ce n'est qu'un long film décousu entre fascination du réalisateur et malaise du spectateur.
Avis publié par Salles-cinema.com le 25 octobre 2025
L'effroyable Joseph Mengele, "l'ange noir d'Auschwitz", entre paranoïa et dépression, dans ce film du grand cinéaste russe de "La Femme de Tchaïkovski". Superbement réalisé, un film noir au plus profond de l'âme d'un nazi traqué avec l'excellent August Diehl qui joue Mengele à tous les âges de la vie.
Avis publié par Remy le 24 octobre 2025
Le brillant réalisateur russe Kirill Serebrennikov offre ici une œuvre remarquable. Il utilise quasiment durant tout le film le noir et blanc avec la maestria contrastée et esthétique d’une Leni Riefenstahl pour, à mon avis, montrer l’ampleur de l’angoisse lancinante permanente et sans cesse grandissante pendant sa fuite à l’autre bout du monde du terrible médecin criminel du camp d’Auschwitz.
Ce médecin nazi de « bonne » famille bourgeoise, fortunée et terriblement antisémite aura été le « médecin » criminel du régime nazi le plus recherché par toutes les polices du monde pour avoir pratiqué d’innombrables et terribles « expériences » médicales. Les actes effectués pour la plupart in vivo sans anesthésie, parmi les plus cruels et les plus odieux qui n'aient jamais été pratiqués, ne sont ici et heureusement que brièvement montrés. Tout le film s’articule surtout sur sa fuite angoissée et interminable avec sa garde rapprochée depuis la fin de la guerre jusqu’à sa mort en 1979 au Brésil.
Le cynisme est poussé au paroxysme quand le réalisateur utilise la couleur en deux moments particulièrement notables et paradoxaux : ceux précisément pendant lesquels ces expériences innommables sont effectuées à Auschwitz avec lui et ses collègues médecins hilares, et celui où il fait sauvagement l’amour à sa première femme dont la peau est d’une blancheur assez saisissante.
Nota Bene : la modération des avis s'effectue a posteriori. C'est à dire qu'un avis provisoirement affiché peut être refusé par la suite.
Pour être publié, le contenu de votre avis doit respecter nos conditions générales d'utilisation.
Pour les questions concernant des billets achetés via notre intermédiaire (accueil, placement, tarifs), il est nécessaire de contacter notre service client.














