Réalisation :
Sofia Djama
Principaux artistes :
Sami Bouajila, Nadia Kaci, Lyna Khoudri, Salima Abada
Genre : Drame
Nationalité : Belgique, Algérie, France
Durée : 1h42
Année de production : 2017
Date de sortie (ou ressortie) : 13 décembre 2017
Présentation
À Alger, en 2008, quelques années après la guerre civile, Samir emmène Amal dans un bon restaurant pour fêter leur vingtième anniversaire de mariage. Le couple en profite pour faire le bilan : Amal voudrait quitter un pays mal en point, contrairement à son époux. Fahim, leur fils, traîne son ennui dans les rues de la ville. Avec ses amis étudiants, Feriel et Reda, ils sont à la recherche d’un tatoueur.
Avec Les Bienheureux, Sofia Djama livre sa propre vision d'Alger, sa ville natale, dont la « confusion architecturale incarne parfaitement la relation tumultueuse de l’Algérie avec son Histoire ». La réalisatrice expose les conséquences de la guerre civile en puisant son inspiration dans ses souvenirs de jeunesse. Le film fut présenté à la Mostra de Venise où la jeune Lyna Khoudri a reçu le Prix de la meilleure actrice dans la section Orizzonti.
Les Bienheureux : la distribution
Réalisation : Sofia Djama
Casting : Sami Bouajila (Samir), Nadia Kaci (Amal), Lyna Khoudri (Feriel), Salima Abada (Souad), Faouzi Bensaïdi (Amin), Adam Bessa (Reda), Amine Lansari (Fahim)
Distribution technique : Sofia Djama (scénario), Patricia Ruelle (décors), Pierre Aïm (direction artistique)
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Sami Bouajila dans La Mécanique de l'ombre (2016) et Orage (2015) et Nadia Kaci dans Lola Pater (2017) et En attendant les hirondelles (2017).
Derniers avis sur le film : Les Bienheureux
Avis publié par Christophe le 5 janvier 2018
J'ai eu la chance d'assister à une séance à laquelle était présente la réalisatrice.
La vision divergente entre les générations de l'Algérie d'aujourd'hui pose ici comme ailleurs des cadres de références de chacun.
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
1 avis sur Les Bienheureux
Avis publié par Christophe le 5 janvier 2018
J'ai eu la chance d'assister à une séance à laquelle était présente la réalisatrice.
La vision divergente entre les générations de l'Algérie d'aujourd'hui pose ici comme ailleurs des cadres de références de chacun.
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