Festival Paris l’été : une édition sous le signe de la gaieté et de la générosité

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Plus de 27 propositions artistiques variées entre théâtre, danse, musique, cirque et installation : le festival Paris l’été convoque la fête, l’émotion et la beauté au cœur de juillet. À vos baskets !

« Au terme de deux années de pandémie et à l’heure où la violence du monde nous accable, nous avons placé ce festival sous le signe de la gaieté et de la générosité », disent Laurence de Magalhaes et Stéphane Ricordel, codirecteurs du festival estival qui investit, dans la capitale et ses alentours, « des lieux magiques pleins de vie, de respect, d’intelligence et de sensibilité », pour conjuguer ressources patrimoniales et beauté artistique. De Montfermeil aux Granges de Port-Royal des Champs, du parvis de Notre-Dame aux Berges de Seine, de La Villette à l’Atelier, s’organisent, en réseau, le rassemblement et le partage.

Ville lumière

« Les œuvres ont été pensées dans l’expectative de la rencontre, du désir, de la découverte et de l’étonnement », ajoutent les deux complices, qui insufflent au festival d’été l’originalité créative et la liberté joyeuse qui sont devenues, de succès en succès et du Monfort au Rond-Point, leur marque de fabrique. Pendant trois semaines, se croisent les disciplines et les artistes pour des spectacles, mais aussi des ateliers de pratique, des temps d’échanges et bien d’autres invitations dont de nombreuses manifestations gratuites, ouvertes à tous.

Incontournables et découvertes

Parmi les artistes invités, figurent des immanquables : Angelin Preljocaj, qui ouvre le festival dans la cour Lefuel du Louvre, habituellement inaccessible au public, avec Boléro, mais aussi Mette Ingvartsen (The Dancing Public), la compagnie espagnole Kors’ia (Igra – Jeux), Fouad Boussouf (Näss – Les Gens), Josef Nadj (Omna), Arthur Perole (La Boum Bom Bum). Le 14 juillet, émotion garantie avec les Dakh Daughters (Ukraine fire). À ne pas rater non plus, Le Marteau et la faucille, de Julien Gosselin, de nombreuses propositions au lycée Jacques-Decour, des gros qui patinent toujours aussi bien, la singularité de Johanny Bert, l’amazone Ottilie, le collectif 49 701 et moult autres surprises et merveilles.

Le programme complet du festival (avec possibilité de réserver en ligne) est disponible ici

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