Marie s'infiltre : Culot

J’avais invité une amie pensant passer un moment de détente, de rire et de révélation. Comment peut-elle faire un hold up comme celui-là avec un spectacle qui manque (de corps, de mise en scène, de décor, de lumière) et d’esprit, c’est vraiment plat et sans culot… Un déversement de rage et de bêtise sans la dérision qui aurait pu rendre ça drôle.
Elle fait presque peur tellement son pathos déborde, sans compassion !
J’ai été otage d’un spectacle qui m’a laissé vraiment un goût amer !
Le culot qu’elle a eu pour se mentir à ce point, Marie, reviens à tes origines, au vrai culot sans un melon hors norme.
Quelle déception !!!

En un mot décevant... c’est une démonstration un peu trop égocentrée et beaucoup trop lisse qui vous grignotera 2 heures de votre temps. Vous verrez un « truc » qui manque vraiment de délicatesse, d’unité, d’ancrage, et qui prend à témoin une salle de milliers de personnes pour réparer une relation père/fille… or, on s’en fout complètement… nous, les bobos repentis, ce que l’on veut c’est de l’aaaaart... et du divertissement. Le dévoilement du public, les histoires personnelles des spectateurs, font plus partie des éléments de décor qu’un vrai traitement de ces témoignages sincères et on peut vraiment le regretter. Car à part danser, le talent attendu de Marie Benoliel une fois sur scène n’est pas au rendez-vous. Bonne communicante, la jeune trentenaire a réalisé que montrer son cul ferait « culot », mais c’est oublier que les supporters de foot l’avaient fait avant elle (pas très futé d’ailleurs).
Une prestation scénique largement en-dessous de la qualité de ses créations de contenus vidéos. Ici, aucun fil directeur, on peine à suivre… mais le plus troublant dans tout cela, c’est de voir sur les écrans de la salle cette femme mettre volontairement une partie de son public mal à l’aise, un public qu’elle prend entièrement pour acquis… avec lequel elle « joue », étiquetant par-ci, par-là, plutôt que de célébrer la singularité de chacune des personnes. À la fin de son « show », elle annonce génialement la suppression des publications de son compte Instagram, alors que ce personnage l’a fait connaitre, que l’on trouvait attachant, à l’humour satirique, courageux, éhonté ; ses publications sur les réseaux sociaux qui faisaient sa notoriété avec Marie S’infiltre… surprenant de la voir saborder ce qui a justement fait son succès. Je déconseille !

Ma fille et moi pensions découvrir une performance dénonçant les abus et les outrances de notre société. Ce que nous avons vécu fut tout autre. Sous couvert de provocation, le spectacle invite en réalité à devenir complice d'humiliations publiques et de propos profondément irrespectueux.
Le moment le plus choquant reste cette scène où l’artiste, en s'asseyant de façon suggestive autour du cou d’un homme âgé du public, lui demande s’il a "de quoi payer", avant de l’insulter de "vieux pervers". Nous avons également été glacées par les insultes et les stéréotypes raciaux ou sexuels balancés envers des spectateurs des 1er rangs, sans aucune distance critique, le tout sous les rires d’un Bercy plein à craquer. Nous attendions une rupture, une remise en question, un retournement de sens. Mais non. Rien. Pas de réparation. Juste une escalade. Jusqu’à cette injonction finale où le public fut sommé de danser sous peine d'humiliation publique. Cette menace, dans un tel contexte de violence symbolique, a été la goutte de trop. Nous n’avons pas dansé. Nous avons regardé autour de nous, hébétées, cette foule sous emprise et prête à tout accepter. Et nous sommes parties au début de l’acte 2. Nous sommes ressorties avec l’impression d’avoir été salies, témoins involontaires d’un déversement de saletés irrespectueuses. Si "le culot" consiste à bafouer la dignité humaine pour divertir, alors non, ce n’est pas du courage. C’est de la violence déguisée en spectacle.

Le spectacle de Marie s’infiltre à l’Accor Arena est une véritable claque. À travers une mise à nu sincère et courageuse de son ego, elle raconte son histoire sans filtres et invite chacun à croire en ses rêves. Elle bouscule avec intelligence les schémas sociaux, religieux et familiaux qui nous enferment trop souvent, tout en restant profondément humaine et accessible. Son humour, à la fois percutant et libérateur, fait rire autant qu’il fait réfléchir. On ressort du spectacle inspiré, avec l’envie d’oser être soi-même et de ne plus laisser les normes décider de notre trajectoire.

Comme beaucoup, je n'ai pas pu rester jusqu'au bout. Décousu, malsain, gênant... bref, impossible à suivre. En plus de ne pas être drôle, elle humilie son public. On a assisté en direct à une agression sexuelle... une femme sur un homme on ne dit rien, mais l'inverse aurait fait un tollé !! Inacceptable. Comment a-t-elle pu se retrouver à Bercy ? Beaucoup de gens ont quitté la salle avant la fin (le personnel de Bercy était choqué de voir tant de gens partir). Évidemment, je déconseille...

Alors là, c’est une grosse désillusion. Je n’ai pas tenu jusqu’à la fin. J’ai trouvé que ce spectacle, annoncé comme libérateur, capitalise sur la peur, la peur et encore la peur et ne propose rien. Mais au-delà de ça, ce qui m’a fait partir c’est le sentiment de malaise au moment de la très longue évocation de la perte d’une proche. Pour moi, on ne fait pas 15 min de spectacle avec une voix faussement larmoyante sur une douleur aussi grande que la perte d’un être aimé.

C’est la première fois où je quitte un spectacle avant la fin. C’est vraiment dommage car Le spectacle reste original, entre chant, danse et larmes. On passe 2h chez le psy à se faire juger sur notre façon d’être. Les gens sont pris au hasard pour se faire humilier publiquement. Le jeu d’actrice est assez limité et gênant. La voix est stridente et épuisante. Bref, vraiment dommage car l’idée pouvait être bonne.

Nous avions UNE soirée sans les gosses, quelle déception de l’avoir consacrée à ce spectacle… Confond narcissisme et culot. Ce besoin de nous extraire de nos vies médiocres voire ratées grâce à ses préceptes proches de la psychologie de comptoir est insupportable. À croire que nous sommes des miséreux complexés et que Marie peut nous sauver de notre condition par ses enseignements. On me dira que je n’ai rien compris, pourtant c’est la seule chose que j’en retiens. Je suis partie avant la fin, c’était long, brouillon, vulgaire, le sans gêne n’apporte rien à l’ensemble. Aucun trait de finesse intellectuelle, seulement des lieux communs. Je ne recommande pas.

Une catastrophe... même les gens qui riaient se forçaient. Une vulgarité encore et encore. J'ai fait de mon mieux pour rester mais je n'ai pas pu.

Très gênante et absolument vulgaire.

Je mets une étoile à défaut d’en mettre zéro.
Cette jeune femme profite de sa notoriété pour faire n’importe quoi de son public, revendiquant un message pour se libérer. En réalité elle a confondu gêne et respect d’autrui.
Spectacle humiliant, qui génère de la souffrance dont elle fait une affaire absolument personnelle.
Ce spectacle c’est son kiffe à elle, elle réalise tous ses petits rêves, tout est teinté de sexe et pornographie, mais quand on ne s’ennuie pas sur des longueurs, on est juste extrêmement mal à l’aise de voir combien elle instrumentalise son public jusqu’à le piétiner pour en faire des êtres ridicules.
Elle se présente comme thérapeute, mais n’en a aucune qualité ni compétence. Nous ne sommes pas venus pour subir ses vécus torturés, parce qu’il arrive que dans le public, certains soient bien dans leur vie, et n’ai pas besoin de toute cette violence affichée pendant deux heures. En somme je n’ai jamais rien vu d’aussi médiocre et révoltant. Je suis partie avant la fin non pas seulement par ennui, mais par désaccord avec ce à quoi j’étais soumise.

Un sujet qui aurait pu être intéressant mais qui n’est traité que très superficiellement, voire pas du tout. On dirait que Marie confond le culot avec le besoin d’attention. Le besoin désespéré d’être admirée et désirée. Le jeu d’acteur est très mauvais et met très mal à l’aise… Le spectacle est décousu, meublé par des chants et des danses sans intérêt. Cela ressemble plutôt à une auto-consécration. Le message qu’elle nous rabâche du début à la fin est pour ainsi dire : « vas-y, tout comme moi, tu peux y arriver » et elle brandit comme preuve sa propre réussite : celle de réunir des milliers de personnes et les faire payer très cher, pour un spectacle creux et gênant. Même carrément irrespectueux envers certains spectateurs qui sont la cible de ses humiliations.

Nul, 0 pointé. Je ne recommande pas. J’ai tenté de prendre patience et rester jusqu'à la fin mais j’en ai été incapable. Aucune finesse. Lourd, sans intérêt, redondant et long.

Spectacle affligeant, où le public subit un endoctrinement par une manipulatrice, qui humilie les gens sur grand écran.
Elle critique ce qu'elle fait elle-même dans son spectacle.
C'est la 1ere fois que je quitte un spectacle avant la fin. Elle est malfaisante, elle chante mal, gueule le reste du temps dans son micro. Point positif, elle danse bien.

Psychologie à 2 balles et vulgarité. Un vide intellectuel intersidéral. Spectacle poussif dans lequel cette jeune femme aigrie gesticule, crie et menace le public pour obtenir une réaction molle. À éviter d’urgence !