Réalisation :
Emily Atef
Principaux artistes :
Marie Bäumer, Birgit Minichmayr, Charly Hübner, Robert Gwisdek
Genre : Drame
Titre original : 3 Tage in Quiberon
Nationalité : France, Allemagne, Autriche
Durée : 1h55
Année de production : 2018
Date de sortie (ou ressortie) : 13 juin 2018
Présentation
En 1981, Romy Schneider passe quelques jours dans un hôtel de cure en Bretagne. C'est là que l'actrice allemande à la vie chaotique accorde sa dernière interview à Michael Jürgs, un rédacteur du magazine Stern. Son amie Hilde, très protectrice, voit cet entretien comme un danger. Mais Romy aime beaucoup le photographe qui doit venir, Robert Lebeck, et c'est pour cela qu'elle a accepté l'entretien. De plus, elle veut se débarrasser de l'image que l'Allemagne a d'elle, car malgré sa très riche filmographie, elle est toujours la petite Sissi. Dès le début de l'interview, Jürgs pose des questions très personnelles auxquelles Romy répond franchement, sans se démonter.
Emily Atef tient l’idée de son film d’un producteur français, qui était tombé sur la toute dernière interview donnée par Romy Schneider en allemand, fait extrêmement rare depuis l’installation de l’actrice en France. La réalisatrice a pu rencontrer à plusieurs reprises Robert Lebeck, photographe de l’interview, afin de documenter au mieux son film.
3 jours à Quiberon : la distribution
Réalisation : Emily Atef
Casting : Marie Bäumer (Romy Schneider), Birgit Minichmayr (Hilde Fritsch), Charly Hübner (Robert Lebeck), Robert Gwisdek (Michael Jürgs), Denis Lavant (Fisherman Poet), Yann Grouhel (le réceptionniste), Christopher Buchholz (le docteur Ferlin), Vicky Krieps (la femme de chambre), Vincent Furic (le médecin), Loïc Baylacq (le directeur de l'hôtel), Kalle Schmitz (David)
Distribution technique : Emily Atef (scénario), Christoph Kaiser (musique), Silke Fischer (décors), Thomas W Kiennast (direction artistique), Julian Maas (musique)
Emily Atef a écrit et réalisé 3 jours à Quiberon. Précédemment, Emily Atef a aussi réalisé Tue-moi en 2010 et L'Étranger en moi en 2008.
La musique a été composée par Christoph Kaiser, qui avait composé auparavant la bande son des films La Révolution silencieuse en 2018, Fritz Bauer, un héros allemand en 2015 et D'une vie à l'autre en 2014 et Julian Maas, qui avait composé auparavant la bande son des films La Révolution silencieuse en 2018, Fritz Bauer, un héros allemand en 2015 et D'une vie à l'autre en 2014.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Marie Bäumer dans En équilibre (2015) et Pour ton anniversaire (2013) ; Birgit Minichmayr dans La Grâce (2012) et Bienvenue à Cadavres-les-Bains (2008) et Charly Hübner dans Magical Mystery (2017) et Stefan Zweig : adieu l'Europe (2016).
Derniers avis sur le film : 3 jours à Quiberon
Avis publié par Gaïa le 14 juillet 2018
Platitude et voyeurisme, ennui et alcool, caméra qui tourne, rien à apprendre, rien à comprendre. Il ne donne pas envie de rencontrer Romy, la vraie, dans ses films. Je me suis ennuyée, car en plus il est inutilement long et répétitif, le sepia en plus. Le cinéma allemand peut mieux faire.
Avis publié par Philippe le 16 juin 2018
Film excellemment interprété même si on peut s interroger sur sa finalité.
Avis publié par claude michaux le 13 juin 2018
Pourquoi revenir sur le cas de Romy Schneider si ce n'est pour répondre à une certaine exigence de voyeurisme de la part des spectateurs ? Ceci dit il existe des documentaires beaucoup plus explicites, mieux faits où la vraie Romy s'explique sur ses rôles et ses problèmes existentiels.
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
3 avis sur 3 jours à Quiberon
Avis publié par Gaïa le 14 juillet 2018
Platitude et voyeurisme, ennui et alcool, caméra qui tourne, rien à apprendre, rien à comprendre. Il ne donne pas envie de rencontrer Romy, la vraie, dans ses films. Je me suis ennuyée, car en plus il est inutilement long et répétitif, le sepia en plus. Le cinéma allemand peut mieux faire.
Avis publié par Philippe le 16 juin 2018
Film excellemment interprété même si on peut s interroger sur sa finalité.
Avis publié par claude michaux le 13 juin 2018
Pourquoi revenir sur le cas de Romy Schneider si ce n'est pour répondre à une certaine exigence de voyeurisme de la part des spectateurs ? Ceci dit il existe des documentaires beaucoup plus explicites, mieux faits où la vraie Romy s'explique sur ses rôles et ses problèmes existentiels.
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