Réalisation :
Terrence Malick
Principaux artistes :
Richard Gere, Brooke Adams, Linda Manz, Sam Shepard
Genre : Drame
Titre original : Days of Heaven
Nationalité : Etats-Unis
Durée : 1h35
Année de production : 1978
Date de sortie (ou ressortie) : 17 juillet 2019
Date de première mise en salle : 16 mai 1979
Distributeur : Solaris Dist.
Présentation
En 1916, les États-Unis sont en pleine croissance. De nouveaux empires se construisent et des appels à la main-d'œuvre traversent le pays. Ouvrier dans une fonderie, Bill quitte Chicago pour faire les moissons au Texas. En compagnie de sa petite amie Abby et de sa sœur Linda, il rêve de sortir de la misère. Atteint d'une grave maladie, leur employeur tombe amoureux d'Abby. Dans ce véritable paradis perdu, Bill croit y voir un « raccourci » vers le bonheur en proposant à sa compagne de se laisser séduire. Contre toute attente, la jeune femme succombe peu à peu aux atouts de ce riche fermier.
Le rôle tenu par Richard Gere était initialement prévu pour John Travolta, qui a dû se désister à cause de ses engagements sur la série Welcome Back, Kotter. Gere voit alors sa carrière cinématographique décoller et le film, seconde réalisation de Terrence Malick, obtient le Prix de la mise en scène au Festival de Cannes en 1979. Le thème musical du film, Aquarium, issu du Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns, est depuis utilisée lors de la montée des marches du Palais des festivals et avant chaque projection de la sélection officielle.
Les Moissons du ciel : la distribution
Réalisation : Terrence Malick
Casting : Richard Gere (Bill), Brooke Adams (Abby), Linda Manz (Linda), Sam Shepard (Chuck), Robert Wilke (le chef d'équipe), Jackie Shultis (l'amie de Linda), Timothy Scott (l'ouvrier), Gene Bell (le danseur), Sahbra Markus (la danseuse), Frenchie Lemond (le lutteur), Bob Wilson (le comptable), John Wilkinson (le prêtre), Muriel Jolliffe (la maîtresse)
Distribution technique : Terrence Malick (scénario), Ennio Morricone (musique), Jack Fisk (décors), Nestor Almendros (direction artistique)
Terrence Malick a écrit et réalisé Les Moissons du ciel. Précédemment, Terrence Malick a aussi réalisé La Balade sauvage en 1973 et Les Indésirables 1971 en 1971.
La musique a été composée par Ennio Morricone, qui avait composé auparavant la bande son des films Holocauste 2000 en 1978, La Cage aux folles 1 en 1978, Qui a tué le chat ? en 1977 et L'Exorciste 2 en 1977.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Richard Gere dans Les Chaînes du sang (1978) et À la recherche de mister Goodbar (1977) et Brooke Adams dans L'Invasion des profanateurs (1978) et Le Commando des morts vivants (1978).
Derniers avis sur le film : Les Moissons du ciel
Avis publié par Christophe le 20 juin 2021
Film particulièrement ennuyeux, même s'il y a de jolis plans parfois, je ne comprend pas la passion de certains, je suis passé malheureusement à côté.
Avis publié par Clara F. le 8 août 2020
A voir et revoir sur grand écran. Pour la beauté de l'argentique meme numérisé. Pour la caméra démiurge qui se promène sur terre et inspecte sa création, du plus petit au plus grand, capable de voir, dans un meme plan, l'épi de blé et l'immensité des champs. Pour un Nestor Almendros à la photo et déjà presque aveugle mais que rien n'effraie, ni le feu, ni l'eau, ni l'air, ni la terre, ni la chair...Pour les humains, troupeau parmi les troupeaux, que l'on suit dans leur destin bizarre. Pour le trés bon Sam Shepard. Ce film est une réverie, une métaphore, un récit mythique. Bref, un trés beau film réussi.
Avis publié par matti jarvinen le 29 juin 2017
Vu en 1978 en salle et en partie lors de passages à la télévision.
Belle photo, sans doute, mais ça ne suffit pas.
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
Plan
3 avis sur Les Moissons du ciel
Avis publié par Christophe le 20 juin 2021
Film particulièrement ennuyeux, même s'il y a de jolis plans parfois, je ne comprend pas la passion de certains, je suis passé malheureusement à côté.
Avis publié par Clara F. le 8 août 2020
A voir et revoir sur grand écran. Pour la beauté de l'argentique meme numérisé. Pour la caméra démiurge qui se promène sur terre et inspecte sa création, du plus petit au plus grand, capable de voir, dans un meme plan, l'épi de blé et l'immensité des champs. Pour un Nestor Almendros à la photo et déjà presque aveugle mais que rien n'effraie, ni le feu, ni l'eau, ni l'air, ni la terre, ni la chair...Pour les humains, troupeau parmi les troupeaux, que l'on suit dans leur destin bizarre. Pour le trés bon Sam Shepard. Ce film est une réverie, une métaphore, un récit mythique. Bref, un trés beau film réussi.
Avis publié par matti jarvinen le 29 juin 2017
Vu en 1978 en salle et en partie lors de passages à la télévision.
Belle photo, sans doute, mais ça ne suffit pas.
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