Danse contemporaine : tous les spectacles à Paris :
91 spectacles
La compagnie italienne Dewey Dell mêle partitions chorégraphiques et arts visuels dans des pièces d’une grande originalité.
Clémentine Colpin brosse le portrait choral et composite d’une femme de 75 ans, Annette, qui partage la scène avec deux comédiennes et deux danseurs.
Inspiré par le Boléro de Ravel, Mickaël Le Mer orchestre une danse envoûtante pour huit interprètes.
Deux corps s’accordent, s’interrogent comme autant de mots se conjuguent à l’occasion d’une rencontre. Les regards s’accrochent et ne se lâchent plus dans un tourbillon hypnotique.
Les chorégraphes Morgan Gruvel et Amed Mouhamed Faiz se partagent l'affiche le temps d'une soirée.
Au plateau, nous découvrons Dalila, Folly, Emma et Mulunesh : des portraits croisés aux corps hétérogènes, aux voix singulières et aux identités multiples.
Puisant dans les recherches de l’art cinétique, Yvann Alexandre élabore une œuvre où le mouvement, la volte-face et l’illusion sont tout.
Deux habitants des lisières, et leur position singulière – entre retenue et affirmation, retrait et participation –, ont inspiré le chorégraphe suisse.
Laura Defretin et Brandon Masele, danseurs et chorégraphes de la compagnie MaselFreten, proposent une soirée en trois temps entre solos et duo.
Deux pièces, deux écritures chorégraphiques, une même quête : dévoiler l'humain caché derrière les apparences.
Deux hommes de générations différentes et aux métiers en apparence éloignés tissent une conversation sensible autour du vivant.
Sur un plateau nu, tantôt sculpté par la lumière, tantôt laissant apparaitre des images projetées dans une brume, Rachid Ouramdane évoque l’enfance et le vieillissement.
Deux pièces sur des bandes-son composées de bribes de discours politiques : le solo de Lisbeth Gruwez dont le corps se meut sous l'emprise des mots, suivi d'une courte pièce pour 45 amateur.es.
Les reines de la house explorent la force des liens sacrés qui les unissent. En ligne, en groupe, en solo ou en duo, ces sœurs de scène affirment leurs identités, et le public les voit toutes et chacune.
Le titre est une inversion intentionnelle de « dabké », le nom d’une danse traditionnelle palestinienne, et le point de départ de la performance.
La danse contemporaine, créée à la fin du XIXe siècle, est une danse actuelle, ancrée dans les styles et les courants de notre époque. Elle repose sur l’émotion qui conduit au geste, sur le vécu intérieur de l'interprète et est personnelle à chacun. Elle ne repose pas sur une grammaire prédéfinie ni sur une recherche de virtuosité. Certains chorégraphes, par la danse contemporaine, cherchent à exprimer les problèmes politiques et sociétaux de notre époque. Parmi les grands noms de la danse contemporaine, nous pouvons citer Merce Cunningham, Pina Bausch, Alvin Ailey, Angelin Preljocaj, Trisha Brown, Carolyn Carlson, Philippe Decouflé, Anne Teresa De Keersmaeker, Jan Fabre ou encore Lucinda Childs. Mais la danse contmporaine est un genre toujours très actif, avec de nombreux talents tels que Hofesh Shechter, Crystal Pite, Jérôme Bel, Sidi Larbi Cherkaoui, Akram Khan ou encore Boris Charmatz.
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