Théâtre de la Ville - Espace Pierre Cardin
1 avenue Gabriel -
75008
Paris 8e
Métro : Concorde (1/8/12)
Distribution : De Darryl Pinckney, mise en scène Robert Wilson. Avec Isabelle Huppert
Genre : Seule en scène
Sous-rubrique : Pièces de théâtre
Durée : 1h30
Événement suspendu ou reporté
Mary est une femme qui a combattu les forces de l’Histoire pour contrôler son destin. La veille de son exécution, elle lutte, encore. À son dernier matin, Mary Reine d’Écosse était vêtue de rouge. La comédienne incarne la vie et les tourments de Marie Stuart, reine d’Écosse et de France : gloire, prison et meurtres…
Le très inventif Robert Wilson offre à la grande Isabelle Huppert le trône de Mary Reine d’Écosse, la souveraine qui, à cause de ses passions, perdit sa couronne. Braver la captivité était dans sa nature. Elle voulait un homme fort. C’est le commencement. Elle se marie, a un fils, et le meurtre survient…
Théâtre de la Ville - Espace Pierre Cardin
Adresse : 1 avenue Gabriel 75008 Paris 8eMétro : Concorde (1/8/12)
Réservation : 01.42.74.22.77 + guichet à p. de 12h
Site web : www.theatredelaville-paris.com
2 avis sur Mary said what she said
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Publié par Joce San le 9 juin 2019
Performance inouïe de la part d'Isabelle Huppert qui incarne Mary Stuart à la veille de son martyre sur une scène vide : variations de la voix et débit vertigineux, mimiques, immobilité ou déplacements sur une scène étroite tel un cachot avec des mouvement d'automate mais maintien de reine dans ce costume d'époque, véritable carcan d''où elle parvient à se libérer et surtout à rayonner. Un fond de scène dont les variations de couleurs et de luminosité suggèrent la succession des saisons, des moments de la journée et des états d'âme de cette reine déchue enfermée pendant 19 ans. Le texte est parfois trop hermétique malgré des associations libres intéressantes qui rappellent celles de Virginia Woolf ou même Duras. Les deux néons parallèles, l'un devant la scène et l'autre au bas du fond de scène, s'ils évoquent probablement la claustration, sont pénibles pour la vue et la musique a un volume vraiment excessif qui rend, surtout au début, le monologue presque inaudible.
Publié par Joce San le 9 juin 2019
Performance inouïe de la part d'Isabelle Huppert qui incarne Mary Stuart à la veille de son martyre sur une scène vide : variations de la voix et débit vertigineux, mimiques, immobilité ou déplacements sur une scène étroite tel un cachot avec des mouvement d'automate mais maintien de reine dans ce costume d'époque, véritable carcan d''où elle parvient à se libérer et surtout à rayonner. Un fond de scène dont les variations de couleurs et de luminosité suggèrent la succession des saisons, des moments de la journée et des états d'âme de cette reine déchue enfermée pendant 19 ans. Le texte est parfois trop hermétique malgré des associations libres intéressantes qui rappellent celles de Virginia Woolf ou même Duras. Les deux néons parallèles , l'un devant la scène et l'autre au bas du fond de scène, s'ils évoquent probablement la claustration, sont pénibles pour la vue et la musique a un volume vraiment excessif qui rend, surtout au début, le monologue presque inaudible.
Principaux artistes
Isabelle Huppert
Naissance à Paris le 16 mars 1953 (68 ans).
Au théâtre, on a pu voir Isabelle Huppert dans La Ménagerie de verre (Odéon - Théâtre de l'Europe) en 2020, Phèdre(s) (Odéon - Théâtre de l'Europe) en 2016 ou encore Isabelle Huppert lit Sade (Salle Pleyel) en 2016.
Au cinéma, Isabelle Huppert a interprété Patience dans La Daronne en 2020, interprété Maud dans Blanche comme neige en 2019 ou encore interprété Frankie dans Frankie en 2019.
Robert Wilson
Au théâtre, on a pu voir Robert Wilson dans Le Messie (Théâtre des Champs-Élysées) en 2020, Madame Butterfly (Opéra Bastille) en 2019 ou encore Letter to a Man (Théâtre de la Ville - Espace Pierre Cardin) en 2016.
Au cinéma, Robert Wilson a interprété Billy dans The Return en 2006.