Théâtres Performance Pièces de théâtre

D'après Jean Racine, mise en scène Romeo Castellucci. Avec Isabelle Huppert, Cheikh Kébé, Giovanni Manzo.

Genres : Performance, Théâtre contemporain
Lieu : Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt, Paris 4e
Date de début : 20 juin 2025
Date de fin : 6 juillet 2025
Durée : 1h45

Programmation : Dates et horaires : cet évènement est désormais terminé

Pour le confort et la santé de tous, merci de respecter les consignes sanitaires mises en œuvre par les lieux culturels : présentation d'un "pass sanitaire", port du masque, usage de gel hydroalcoolique et distanciation physique.

Présentation

Bérénice, Titus, empereur de Rome, et Antiochus, au-delà du douloureux triangle amoureux et politique, révèlent l’histoire d’une femme. Une femme qui sombre, dont la profondeur des silences est aussi tonitruante que le son de sa voix. Peuplé d’êtres quasi spectraux, un univers fantasmagorique laisse apparaître une icône, car il s'agit bien là de la quintessence du théâtre, par le théâtre, pour le théâtre.

Après avoir incarné Mary Stuart pour Bob Wilson et s'être illustrée dans La Ménagerie de verre et La Cerisaie, respectivement pour Ivo van Hove et Tiago Rodrigues, Isabelle Huppert fait équipe cette fois-ci avec Romeo Castellucci pour revisiter la célèbre tragédie. En maître du Gesamtkunstwerk wagnérien – œuvre totale, réunissant les arts dans la perspective d’exprimer l’unité de la vie –, le metteur en scène convoque dispositifs sonores et plastiques à l’appui du jeu de la comédienne dont il conserve les deux grands monologues.

Le spectacle Bérénice est référencé dans notre rubrique Pièces de théâtre.

Derniers avis sur le spectacle : Bérénice

Avis publié par Caroline le 27 juin 2025

Spectacle insolite, et qui dérange, mise en scène du deuil d’amour et de la douleur qui se font corps, centrée sur la voix, dans tous ses états, reflet de l’âme et du corps. Les personnages sont comme en rêve, autant de projections fantasmagoriques de Bérénice, incarnée par une Isabelle Huppert qui réalise un véritable tour de force. Le rythme, à contretemps de l’accélération permanente de nos vies et distractions, est également celui du corps, à la fois pulsation comme celle du cœur et inscription dans un temps long, celui du deuil. Ce spectacle nous fait sortir de notre zone de confort et est une expérience en soi. Je recommande véritablement.

Avis publié par Ione le 22 juin 2025, réservé via L'Officiel des spectacles

Trop de bruits répétitifs ou douloureux, des effets de lumière ahurissants, du symbolisme trop obscur. Peut-être moins habituée à la scène qu’au cinéma, Isabelle Huppert n’articulait pas assez clairement les vers de Racine. Elle aurait dû ouvrir la bouche et projeter la voix davantage. Bien que son jeu soit émouvant, parfois elle débitait les vers comme une liste de courses, parfois sans émotion comme un automate – le désir du metteur en scène ? J’aurais voulu un peu plus de Racine et un peu moins d’adaptation. En plus, le voile entre la scène et les spectateurs empêchait de voir Huppert, ce qui était décevant !

Avis publié par Cyril le 27 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Ridicule.
Fat.
Et pourtant nous voyons moultes pièces à Paris et au festival d’Avignon.
Pauvre monsieur Racine.

Avis publié par Cécile le 21 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Le pauvre Racine doit se retourner tous les soirs dans sa tombe tant sa pièce est massacrée.
Isabelle Huppert, seule sur scène, croit interpréter une Bérénice qui souffre de se faire larguer par Titus. Mais elle ne fait que gémir ou crier et son interprétation est indigne d'une actrice de son talent.
Pour voir quelque chose, il faut être aux cinq premiers rangs car un voile dissimule la scène. Les autres spectateurs n'ont droit qu'à un podcast en partie inaudible en raison d'une musique lancinante qui empêche de comprendre le texte.
Quant à Titus, il fait une brève apparition sur scène en danseur maigrichon alors que l'empereur, d'après les statues qui le représentent, avait plutôt un physique costaud.
Enfin les sénateurs romains qui se déshabillent sur scène me laissent perplexe.
Un metteur en scène doit toujours veiller à respecter la pièce et son auteur et ne jamais la réinterpréter à sa façon c'est souvent raté. Malheureusement l'égo personnel prend souvent le dessus. Quand on a aucun talent on change de métier.
Je déconseille vivement aux gens d'y aller car c'est une perte de temps et d'argent.
Enfin le théâtre de la ville devrait veiller à ne pas se moquer des spectateurs en évitant de programmer des pièces dont la mise en scène est "nullissime".

Avis publié par Carl-Joe le 13 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Si seulement il y avait l'option de 0 étoiles.
La célèbre et très belle pièce de Racine a été massacrée par Huppert et Castellucci.
Je ne suis jamais parti d'un spectacle avant, mais là c'était intolérable, gênant, désagréable, et incompréhensible. C'est exactement l'opposé de pourquoi on voudrait aller au théâtre.
Revendez vos billets à vos ennemis, et partez dîner à côté.

Principaux artistes liés à l'événement

Isabelle Huppert est à l'affiche de Mary said what she said (interprétation - Théâtre de la Concorde) en 2023, La Ménagerie de verre (interprétation - Odéon - Théâtre de l'Europe) en 2022 ou encore La Cerisaie (interprétation - Odéon - Théâtre de l'Europe) en 2022.
Au cinéma, Isabelle Huppert a interprété Marianne Farrère dans La femme la plus riche du monde en 2025, Les gens d'à côté en 2024 ou encore La prisonnière de Bordeaux en 2024.

Romeo Castellucci est à l'affiche de Schwanengesang D744 (mise en scène - MC 93) en 2025, Symphonie n°2 « Résurrection » (mise en scène - Grande Halle de la Villette) en 2024 ou encore Bros (texte, mise en scène - MC 93) en 2022.

Coordonnées du lieu

Transports

Métro : Châtelet (1 / 4 / 7 / 11 / 14), Cité (4), Hôtel de Ville (1 / 11)
Bus : Châtelet (21 / 38 / 47 / 58 / 67 / 69 / 70 / 72 / 74 / 76 / 85 / N11 / N12 / N13 / N14 / N15 / N16 / N21 / N22 / N23 / N24 / N122 / N123), Cité - Palais de Justice (21 / 38 / 47 / 58 / 70 / 96 / N12 / N13 / N14 / N15 / N21 / N22), Pont Neuf - Quai du Louvre (21 / 27 / 58 / 67 / 69 / 70 / 72 / 74 / 85 / N11 / N15 / N16 / N24), Châtelet - Quai de Gesvres (58 / 67 / 69 / 70 / 72 / 96 / N11 / N15 / N16 / N21 / N24), Hôtel de Ville (67 / 69 / 70 / 72 / 75 / 76 / 96 / N11 / N16 / N21), Rivoli - Châtelet (21 / 74), Châtelet / Coutellerie (38 / 75 / 96 / N23), Cité - Parvis Notre-Dame (47 / 75 / N15 / N22), Pont d'Arcole (75)

Plan d'accès

Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt - Paris 4e
2 place du Châtelet

19 avis sur Bérénice

Avis publié par Caroline le 27 juin 2025

Spectacle insolite, et qui dérange, mise en scène du deuil d’amour et de la douleur qui se font corps, centrée sur la voix, dans tous ses états, reflet de l’âme et du corps. Les personnages sont comme en rêve, autant de projections fantasmagoriques de Bérénice, incarnée par une Isabelle Huppert qui réalise un véritable tour de force. Le rythme, à contretemps de l’accélération permanente de nos vies et distractions, est également celui du corps, à la fois pulsation comme celle du cœur et inscription dans un temps long, celui du deuil. Ce spectacle nous fait sortir de notre zone de confort et est une expérience en soi. Je recommande véritablement.

Avis publié par Ione le 22 juin 2025, réservé via L'Officiel des spectacles

Trop de bruits répétitifs ou douloureux, des effets de lumière ahurissants, du symbolisme trop obscur. Peut-être moins habituée à la scène qu’au cinéma, Isabelle Huppert n’articulait pas assez clairement les vers de Racine. Elle aurait dû ouvrir la bouche et projeter la voix davantage. Bien que son jeu soit émouvant, parfois elle débitait les vers comme une liste de courses, parfois sans émotion comme un automate – le désir du metteur en scène ? J’aurais voulu un peu plus de Racine et un peu moins d’adaptation. En plus, le voile entre la scène et les spectateurs empêchait de voir Huppert, ce qui était décevant !

Avis publié par Cyril le 27 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Ridicule.
Fat.
Et pourtant nous voyons moultes pièces à Paris et au festival d’Avignon.
Pauvre monsieur Racine.

Avis publié par Cécile le 21 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Le pauvre Racine doit se retourner tous les soirs dans sa tombe tant sa pièce est massacrée.
Isabelle Huppert, seule sur scène, croit interpréter une Bérénice qui souffre de se faire larguer par Titus. Mais elle ne fait que gémir ou crier et son interprétation est indigne d'une actrice de son talent.
Pour voir quelque chose, il faut être aux cinq premiers rangs car un voile dissimule la scène. Les autres spectateurs n'ont droit qu'à un podcast en partie inaudible en raison d'une musique lancinante qui empêche de comprendre le texte.
Quant à Titus, il fait une brève apparition sur scène en danseur maigrichon alors que l'empereur, d'après les statues qui le représentent, avait plutôt un physique costaud.
Enfin les sénateurs romains qui se déshabillent sur scène me laissent perplexe.
Un metteur en scène doit toujours veiller à respecter la pièce et son auteur et ne jamais la réinterpréter à sa façon c'est souvent raté. Malheureusement l'égo personnel prend souvent le dessus. Quand on a aucun talent on change de métier.
Je déconseille vivement aux gens d'y aller car c'est une perte de temps et d'argent.
Enfin le théâtre de la ville devrait veiller à ne pas se moquer des spectateurs en évitant de programmer des pièces dont la mise en scène est "nullissime".

Avis publié par Carl-Joe le 13 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Si seulement il y avait l'option de 0 étoiles.
La célèbre et très belle pièce de Racine a été massacrée par Huppert et Castellucci.
Je ne suis jamais parti d'un spectacle avant, mais là c'était intolérable, gênant, désagréable, et incompréhensible. C'est exactement l'opposé de pourquoi on voudrait aller au théâtre.
Revendez vos billets à vos ennemis, et partez dîner à côté.

Avis publié par maxence le 13 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Quel dommage !
Si seulement on comprenait plus de 4 ou 5 minutes de texte ! Comment être touché par la mise en scène de Castellucci ou par l'œuvre originale, si le texte n'est tout simplement pas audible ? Je dis "audible" au sens propre : vous n'entendrez pas le texte. Il est tour à tour passé au Vocoder, haché, recouvert de bruitages, lointain...
Ah ! Peut-être est-ce là le parti pris iconoclaste du metteur en scène (quelque chose comme: "Vous voulez entendre ces célèbre alexandrins ? Eh bien je vous les refuse !). Certes, mais c'est un peu léger.
Reste une mise en scène pensée pour être irritante par ses bruits tonitruants, ses loooongueurs savamment calculées être pénibles, ses gestes esthétiques magnifiques mais incompréhensibles.
J'ai été gêné pour Isabelle Huppert. Est-ce recherché ?
La douleur n'est pas toujours agréable, compréhensible ou belle à voir, certes. C'est peut-être une idée de cette mise en scène.
J'ai dans ma nette l'image très nette d'un Castellucci-Mister Burns se frottant les mains d'un air machiavélique, et se demandant: "Tiens tiens, comment pourrais-je emmerder mon public ? mmmm des bruitages de basketball ? ok ! Un radiateur ? chiche ! Un monologue qu'on n'entend pas ? bingo !"
Un plaisir onaniste du metteur en scène, qu'il ne veut partager avec personne.
J'entrais au théâtre avec le plaisir, prêt à être surpris, dérangé. J'en suis sorti triste qu'on m'ait joué ce mauvais tour.

Avis publié par Edouard le 13 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Romeo Castalucci a au moins deux talents.
D’abord celui de croire et de faire croire qu’il est un « grand » metteur en scènes et en second d’avoir su embarquer Isabelle Huppert dans cette aventure ou lorsqu’il la laisse jouer sauve la représentation du complet désastre grâce à son immense talent… ou dévouement.
Le principe du quasi monologue de Bérénice reste une idée judicieuse. Encore faudrait-il que le texte de Racine - vraiment beau - ne soit pas rendu en partie inaudible dans la première partie surtout par des bruitages parasites….
Rome n’est sans doute plus dans Rome ! Les nobles sénateurs romains doivent chaque soir se retourner dans leur caveau en considérant la dé-pantalonade de leur évocation….
Ah ! J’oubliais… une mention spéciale pour la machine à laver qui arrive à indigérer et régurgiter un volume impressionnant de toile.
En revanche, le radiateur était un peu froid.

Avis publié par Patrick le 12 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Pièce prétendument dérangeante, soi-disant intemporelle. Car il y a une différence entre déranger et énerver. Le but du théâtre d'après Aristote était de purger le corps de ses mauvaises humeurs en transformant l'horreur en plaisir (catharsis). Et bien le metteur en scène de ce "Bérénice" réussit à accomplir l'inverse : on entre heureux d'assister à la représentation de l'une des plus belles œuvres de la littérature française et on en ressort énervés d'avoir payé pour être pris pour des jambons.

Et prétendre mettre en avant l'intemporalité de la pièce (pardon, son "inactualité" !) en appliquant à la voix d'Isabelle Huppert les mêmes effets vocaux que la musique pop la plus actuelle où installer sur scène un lave-linge dernier cri ainsi qu'une bouteille de soda très en vogue, il faut être gonflé.

Désolé mais je ne suis pas un fanboy cocaïné de la FIAC. Je suis de la plèbe, mais de celle qui discerne la supercherie dans le charabia prétentieux du dépliant distribué à l'entrée et qui se demande s'il est encore possible, en 2024, d'emmener sa fille lycéenne voir une tragédie classique sans lui imposer les fantasmes éphébophiles d'un plasticien sur le déclin.

Avis publié par Guy le 11 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Un scandale.
Du n’importe quoi pour faire créatif.
En fait, c’est pédant, prétentieux, décousu et vain.
Même Isabelle Huppert, magistrale, ne parvient pas à sauver du désastre ce ramassis de snobisme.

Avis publié par Paola le 9 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Curieux objet que ce Bérénice de Castellucci... Pour dissiper tout quiproquo, il s'agit d'une création d'après l'oeuvre éponyme, donc il ne faut pas reprocher l'incomplétude du texte ou la seule présence de Bérénice sur scène.
La mise en scène n'est pas dénuée d'une certaine esthétique. J'ai pour ma part trouvé la prestation d'Isabelle Huppert remarquable et géniale l'idée de ne lui opposer qu'un silence. Antioche et Titus sont sont de simples figurants muets car ce silence amplifie toute la douleur de Bérénice, seule avec sa tristesse entre les murs de la scène.
Cette prestation aurait peut-être mérité un écrin un peu plus discret et c'est ce que j'ai regretté. Trop de place laissée aux jeux de scène, à la musique, aux à-coté. J'adhère au parti-pris, mais davantage de retenue aurait permis de mieux faire passer le message. Il y a assurément une part d'esbrouffe qui confine trop souvent au ridicule. Dommage...

Avis publié par Matthias le 9 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Cette pièce veut scandaliser, déranger, mais ne parvient qu'à atterrer le public. Rien ne fonctionne, tout est lourdingue.. On devine que le but du metteur en scène est de recréer artificiellement une bataille d'Hernani pour s'en faire la victime heroïsée d'un public réac. Ne rentrez pas dans ce jeu, ne gaspillez pas votre argent ! Préférez promouvoir des troupes moins dans le vent mais plus méritantes et qui touchent très certainement moins de subventions publiques.
Je m'amuse de lire que le seuil commentaire positif indique qu'il faut faire le deuil du texte. Faire le deuil du texte quand on va voir Racine revient à faire le deuil de la neige quand on va au ski...

Avis publié par jackie le 8 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Quand on a fait le deuil du texte qui n'est plus qu'un des éléments d'un spectacle total, on est emporté par la beauté vénéneuse d'une tragédie que l'on ressent au plus profond de soi.
La solitude, le silence, la distance sont suggérés plus que déclarés, tout y contribue : musique, mouvement, lumière, dispositifs scéniques. Il faut s'abandonner.

Avis publié par Marie Christine le 8 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Catastrophique ! A fuir ! Incompréhensible et absurde…
Une bonne partie des spectateurs partent…
Des racines et pas d’ails.
Comme le dit Télérama « spectacle fumeux ».

Avis publié par Pierre le 6 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

J’aurais du partir dès la 5e minute. Je suis resté plus par curiosité que par passion.
Qu’en dire ?
Le metteur en scène s’est moqué de Racine, des spectateurs, du monde. Son ego démesuré l’enfle à profusion au point de se placer en gros sur l’affiche ! La grenouille qui se veut plus grosse que… Racine. Il est brouillon, sauvage, incohérent, inculte et se croit un génie. Laissons le se soigner ailleurs que dans une salle subventionnée.
Que dire d’Isabelle Huppert ? On l’aime ou non mais généralement ses interprétations sont soignées et elle respecte les auteurs. Là, elle s’est laissée convaincre de massacrer le texte de Racine. Méconnaissable.
Ça de l’art ? Du vomi tout au plus.

Avis publié par Van lier le 6 mars 2024 (Théâtre de la Ville - Sarah Bernhardt)

Rien à rajouter à ce spectacle de théâtre conceptuel.

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