Réalisation :
Léa Pool
Principaux artistes :
Céline Bonnier, Lysandre Ménard, Valérie Blais, Anne-Elisabeth Bossé
Genre : Drame
Nationalité : Canada
Durée : 1h43
Date de sortie (ou ressortie) : 30 mars 2016
Présentation
Au Québec, dans les années 1960, Simone Beaulieu, devenue Mère Augustine, dirige un couvent. Véritablement passionnée par la musique, elle tente de transmettre cet amour à ses jeunes élèves. La vie de l'établissement va bientôt être bouleversée par deux événements. Le premier étant l'annonce par le gouvernement de l'instauration d'un véritable système d'éducation publique, qui pourrait mettre en péril la mission du couvent. Le deuxième : l'arrivée d'Alice, la nièce d'Augustine, que lui confie sa sœur, en pleine remise en question. L'adolescente, au tempérament rebelle, fait montre d'un véritable talent pour le piano.
Léa Pool souhaitait donner une image des religieuses dépourvue de clichés. Les bonnes sœurs qu’elle a imaginées ne sont pas conservatrices mais plutôt avant-gardistes et progressistes. Par souci de réalisme, les jeunes filles qui jouent du piano dans le film sont toutes de vraies musiciennes. Léa Pool continue de filmer des personnages féminins qui ont du caractère comme elle l’avait fait dans Emporte-moi (1999) ou Rebelles (2001).
La Passion d'Augustine : la distribution
Réalisation : Léa Pool
Casting : Céline Bonnier (mère Augustine), Lysandre Ménard (Alice), Valérie Blais (soeur Claude), Anne-Elisabeth Bossé (soeur Huguette), Danielle Fichaud (soeur Saint-Donat), Maude Guérin (Marguerite), Alexandre L'Heureux (le journaliste), Andrée Lachapelle (mère Marie-Stéphane), Yogane Lacombe (Marie-Louise), Marie-France Lambert (madame Thompson), Diane Lavallée (soeur Lise), Tiffany Montambault (Carole)
Distribution technique : Léa Pool (scénario), François Dompierre (musique), Marie Vien (scénario)
Avant La Passion d'Augustine, Léa Pool a réalisé Emporte-moi en 1998, Mouvements du désir en 1997, À corps perdu en 1988 et Anne Trister en 1985.
Le scénario du film a été écrit par Léa Pool, qui avait déjà écrit Emporte-moi en 1998, Mouvements du désir en 1997 et Anne Trister en 1985.
La musique a été composée par François Dompierre, qui avait composé auparavant la bande son des films Au plus près du paradis en 2002, Betty Fisher en 2001, Stardom en 2000 et Jésus de Montréal en 1989.
Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Céline Bonnier dans Les Etats-Unis d'Albert (2005) et Contrat sur un terroriste (1997).
Derniers avis sur le film : La Passion d'Augustine
Avis publié par Benard MERY le 19 avril 2016
Un fil merveilleux au sens premier du terme.Une dualité s’installe entre le manque de moyens et l’énergie déployée pour contrer le destin, mais aussi une beauté de l’âme, de la voix humaine et du son qui vous tirent les larmes. Que ferions-nous sur cette terre si nous n’avions pas parfois ces ressentis de pureté et de beauté surnaturelle, où l’on retrouve pourtant des compositeurs des XVIIIème et XIXème siècles, Rameau, Mozart, Beethoven, Schubert…. Tous dans une mélancolie et un romantisme que le XXème siècle a tenté de chasser. Le film par cette révélation mêlée à mes propres souvenirs m’arrache des pleurs en me renvoyant à une jeunesse définitivement enfuie .
Avis publié par gael le 9 avril 2016
Une très belle histoire, un bel hommage à la musique, des paysages superbes, bref, une belle decouverte !
Également programmés à Paris et en Île-de-France :
2 avis sur La Passion d'Augustine
Avis publié par Benard MERY le 19 avril 2016
Un fil merveilleux au sens premier du terme.Une dualité s’installe entre le manque de moyens et l’énergie déployée pour contrer le destin, mais aussi une beauté de l’âme, de la voix humaine et du son qui vous tirent les larmes. Que ferions-nous sur cette terre si nous n’avions pas parfois ces ressentis de pureté et de beauté surnaturelle, où l’on retrouve pourtant des compositeurs des XVIIIème et XIXème siècles, Rameau, Mozart, Beethoven, Schubert…. Tous dans une mélancolie et un romantisme que le XXème siècle a tenté de chasser. Le film par cette révélation mêlée à mes propres souvenirs m’arrache des pleurs en me renvoyant à une jeunesse définitivement enfuie .
Avis publié par gael le 9 avril 2016
Une très belle histoire, un bel hommage à la musique, des paysages superbes, bref, une belle decouverte !
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