La Princesse errante

De Kinuyo Tanaka (1960)
Cinémas Drame 1h42 Réédition

Réalisation : Kinuyo Tanaka
Principaux artistes : Machiko Kyo, Eiji Funakoshi, Sadako Sawamura, Shozo Nanbu
Genre : Drame
Titre original : Ruten no ôhi
Nationalité : Japon
Durée : 1h42
Année de production : 1960
Date de première mise en salle : 16 février 2022
Distributeur : Carlotta Films

Présentation

En 1937, alors que le Japon occupe la Mandchourie, Ryuko, jeune fille de bonne famille, apprend qu’elle a été choisie sur photo pour épouser le jeune frère de l’empereur de Mandchourie. La voilà contrainte de quitter le Japon et de s’acclimater à sa nouvelle vie de princesse. Une petite fille naît, et Ryuko semble heureuse au Palais. Mais bientôt les troupes soviétiques débarquent. Ryuko est obligée de prendre la fuite à pied, accompagnée de son enfant mais aussi de l’impératrice elle-même.

La Princesse errante : la distribution

Réalisation : Kinuyo Tanaka

Casting : Machiko Kyo (Ryûko Korinkakura), Eiji Funakoshi (Futetsu), Sadako Sawamura (Kazuko Sugawara), Shozo Nanbu (Hidesato Sugawara), Chieko Higashiyama (Nao Sugawara), Kanshô Yoshii (Kosuke Takahashi), Kiyoko Hirai (Tsuruko Takahashi), Tatsuya Ishiguro (Furuya), Atsuko Kindaichi (l'impératrice Wan Rong), Yuko Yashio (Asa), Mitsuko Mito (Izumi), Chishu Ryu (Kinoshita)

Distribution technique : Natto Wada (scénario), Chuji Kinoshita (musique)

Avant La Princesse errante, Kinuyo Tanaka a réalisé La Lune s'est levée en 1955, Maternité éternelle en 1955 et Lettre d'amour en 1953.

Le scénario du film a été écrit par Natto Wada, qui avait déjà écrit La Harpe de Birmanie en 1956.

La musique a été composée par Chuji Kinoshita, qui avait composé auparavant la bande son des films La Condition de l'homme : Il n'y a pas de plus grand amour en 1959, La Condition de l'homme : le chemin de l'éternité en 1959, Le Serpent blanc en 1958 et La Ballade de Narayama en 1958.

Parmi les actrices et acteurs principaux, on a pu voir au cinéma Machiko Kyo dans Le Fils de famille (1960) et La Confession impudique (1959) ; Eiji Funakoshi dans Courant chaud (1957) et Le Démon doré (1954) et Sadako Sawamura dans Derniers Chrysanthèmes (1954) et Les Femmes de la nuit (1948).

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