Crazy, Stupid, Love

Tout homme rêve d’avoir une femme, une famille et une maison parfaites. À quarante ans, Cal Weaver peut se vanter d’avoir assouvi tous ces désirs-là. Lorsque son épouse lui apprend qu’elle l’a trompé, il tombe donc de haut… Face à l’imminence du divorce, Cal voit sa vie affective et sexuelle s’écrouler : déshabitué aux soirées en solitaire, il fait pâle figure au moment d'approcher des cibles potentielles. C’est alors qu’il rencontre Jacob Palmer, un trentenaire séduisant et efficace. En effet, nulle proie ne résiste aux charmes de ce « maître ès drague ». Devenu le protégé de ce jeune Casanova, Cal comprendra pourtant que l’amour est une chose folle et stupide, que l’on ne peut maîtriser…

Après I Love You Phillip Morris, John Requa et Gleen Ficarra reviennent à l’affiche. Le deuxième long-métrage du duo compte ouvertement sur les talents de Steve Carell. Devenu une figure incontournable du cinéma américain, le comédien se voit entouré d’un casting fort intéressant. En effet, nous avons d’un côté des stars expérimentées, telles que Julianne Moore et Kevin Bacon – ou encore, l’exubérante Marisa Tomei. Mais Crazy, Stupid, Love met aussi en scène des néophytes, tels Jonah Bobo ou Analeigh Tipton. Le chanteur Josh Groban est aussi de la partie, réalisant ainsi sa première apparition sur grand écran.